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Les semaines et les mois passent. Jean part tôt au bureau et en rentre tard. Il évite de circuler dans le coin. Il fait ses courses ailleurs. Le printemps est arrivé, nous sommes au mois de mai.

Un bruit réveille Jean. Il y a du monde dans la maison ?

Jean se lève et stupéfaction ? Il se trouve nez à nez avec Alice. Il y a deux valises dans l’entrée.

Elle regarde son mari.

– Bonjour mon chéri, je suis rentrée, je reviens chez nous.

– Définitivement ? Ange est derrière toi ? – Il n’y a plus d’Ange ! Fini Ange, il s’est volatilisé.

Jean la regarde. On dirait, qu’elle a un peu grossi du ventre ?

Il lui caresse le ventre d’une main. Il sourit, elle sourit.

– Oh ! Oui, mon chéri, je suis enceinte de deux mois environ. Veux-tu encore de moi ?

Jean se jette dans ses bras et l’embrasse passionnément. Elle répond à son baiser.

– OH ! Oui ! Je désire encore vivre avec toi. Je t’accepte comme tu es ! Mais ? Pourquoi tu rentres à présent? Alors, que ça fait plus de deux mois, que je lui ai récupéré tout son argent ? Tu quittes Ange désormais ?

– Ange a dû s’exiler dans sa maison en Tunisie. Car, s’il restait ici avec moi, il aurait été poursuivi pour proxénétisme et moi pour prostitution. Alors voilà, je suis là !

Alice a accouché d’un adorable garçon au tain légèrement mat. Elle a trouvé du travail comme secrétaire dans une filiale d’une entreprise appartenant à Mr Ange, il a tenu sa promesse.

Depuis plus d’un an déjà, Jean fantasme secrètement à l’idée de voir sa femme avec d’autres hommes en même temps. De se faire prendre, de se soumettre et de se faire défoncer par d’autres. Rien que de l’imaginer, ça l’excite au plus au point. Il a toujours souhaité la voir, s’offrir à une bande de mecs qui la défoncerait, l’humilierait comme la pute qu’elle est devenue.

Mais, Mr Ange n’a jamais donné son accord, tantôt, elle lui disait oui. Mais, Ange disait non. A l’époque, c’était elle, qui venait lui en parlé, elle lui narrait ses exploits, quand elle suçait des tonnes de bites et qu’elle finissait remplie de sperme.

Tantôt, elle était prise en sandwich par des maghrébins, tantôt, elle se faisait enculer à la chaîne et elle avait plusieurs queues pour elle toute seule et ainsi de suite. Un soir, il s’est branlé comme un malade en se remémorant plusieurs fois, sa saillie avec Max. C’est ce qui a fait naître une idée chez Jean.

Avec le temps, Jean ne peut plus tenir, il a tout essayé. Jean lui a proposé des rencontres avec des amis, il lui a soumis l’idée de tester des boites libertines. Malgré tout, elle ne répond pas à ses demandes.

A force de voir Alice avec son fils dans ses bras, rêver à son ancienne vie de débauche.

Jean se décide. Après, plus d’un an d’attente. Elle n’aura plus le choix, il va la mettre devant le fait accompli et elle ne pourra plus faire marche arrière. Jean, sait au fond de lui-même, qu’elle ne protestera pas.

Il voit bien, lorsqu’ils font l’amour et malgré, les godemichés qu’ils utilisent pour la combler.

Alice attend plus, que ce qu’il lui donne. Jean a donc contacté cinq mecs de sa boite, bien bâtis dont un black pour les inviter chez lui un vendredi soir.

Il leur a imposé deux règles, qu’ils ne se branlent pas jusqu’à la date fatidique, pour que sa femme soit entièrement remplie de sperme, et qu’ils se cassent dès l’affaire finie.

Un vendredi soir, Jean leur donne en conséquence rendez-vous chez lui vers dix-huit heures en sachant qu’Alice finit un peu plus tard et que son fils est encore chez ses parents jusqu’à samedi. Les cinq mecs arrivent en même temps, ils font les présentations et plus ample connaissance.

Autours des verres de bières et de whisky, il commence à leur exposer les règles. Jean leur dit d’être sympas, attentionnés parce que depuis plus d’un an, elle n’a pas refait l’amour à plusieurs. De commencer doucement, y aller crescendo et finir dans un déluge de foutre et d’hormones.

Ils sont sympas et semblent tout à fait comprendre. Ils commencent à être pas mal imbibés quand Alice arrive dans la maison. Elle porte une jupe quelconque avec un débardeur sous lequel on peut voir la naissance de ses seins, mais rien de très bandant. Elle est surprise de voir autant de monde et que des hommes.

Jean a fait exprès de se mettre dans un coin dans lequel, elle ne peut pas s’asseoir à ses côtés et trouve la seule place entre deux mecs sur le canapé. Ils discutent de tout et n’importe quoi, il lui présente ses collègues du bureau et au fur et à mesure des verres, il voit que son œil commence à s’égailler et qu’elle devient un peu grise.

Jean perçoit les regards lubriques des mecs sur son débardeur. Tout le monde sait ce pourquoi ils sont là sauf Alice. Ils commencent à parler de cul, des expériences de chacun pour déboucher sur le gang-bang. Jean voit qu’elle prend du plaisir à en parler. Elle se lâche enfin.

Elle parle de ses expériences avec Ange où elle suçait tous les soirs un gars différents. L’idée fait son chemin. La main du type à sa gauche commence trabzon escort à lui effleurer la cuisse. Jean est un peu surpris de voir qu’elle décroise les jambes pour que le mec remonte plus haut. Le mec à sa gauche fait la même chose, il commence à lui caresser l’épaule pour descendre malaxer son sein.

Elle comprend très vite la situation et au bout de quelques minutes. Elle lance à son mari un regard qui semble dire : Ah ? Tu l’as fait, tu as raison au final. Les deux mecs n’arrêtent pas de la tripoter et Jean commence à bander comme jamais. Il voit également que les cinq mecs ont le pantalon déformé par une bosse au milieu de l’entrejambe.

Alice se lève d’un coup et part aux toilettes. Ils continuent donc à parler de cul et certains lui font beaucoup de compliments sur la salope qu’il a à sa disposition et sur le fait qu’il est chanceux. Au bout de cinq minutes, elle ressort de la salle de bain.

Alice a très bien compris ce que son mari désire. Elle réapparaît avec des escarpins avec hauts talons très fins et une robe qui lui arrive aux fesses. Ses jambes quasi nues sont exposées à toute l’assemblée. Elle a un décolleté qui ne cache pas grand-chose, on voit ses deux beaux seins resserrés et prêts à sortir.

Tellement qu’ils ont grossi depuis l’accouchement. Jean croit que la robe ne va pas tenir et se fissurer. Et pour finir, elle s’est mise du rose sur les joues, du rouge à lèvre lui faisant une bouche de pompeuse de queues, du fard à paupières noires et eye-liner noir lui faisant un regard de salope.

Jean regarde les mecs en train de baver sur elle et la bosse de leur pantalon encore plus grosse. Elle est magnifique sa pute. Elle vient s’asseoir au même endroit entre les deux mecs sur le canapé et là toutes les flatteries fusent.

– WOUAH ! T’es vraiment trop bonne comme ça !

– Dis donc tu as réellement de beaux gros seins ? Ils ne sont pas refaits?

– Putain Jean, tu as de la chance d’avoir une belle salope pareille avec toi !

Les deux mecs recommencent à lui peloter les seins. Ils pétrissent ses deux gros seins aux travers de la robe. Un fait sortir un téton qu’il commence à le titiller et à le lécher, par la suite, il le pince en lui embrassant le cou.

Alice, regarde son mari dans les yeux, son regard semble lui dire : Depuis que tu souhaitais, que je le fasse ? Je vais le faire, pourras-tu supporter et contrôler la flamme que tu viens de rallumer en moi.

Elle prend des initiatives. Pendant qu’on s’occupe de ses seins, ses deux mains se sont déployés de chaque côté et commencent à caresser l’entrejambe des mecs. Un troisième mec arrive derrière le canapé, le caleçon baissé et la bite a l’air et présente à la femme sa queue, de taille moyenne à sa bouche.

Alice ne se fait pas prier et tout en déboutonnant les jeans de ses voisins, elle lèche la bite du mec derrière. Le spectacle commence. Alice est face à Jean, en train de sucer un mec pendant que chacune de ses mains branle une bite. Les deux autres ne sont pas en reste, ils ont sorti leur engin et commencent à se branler sur le spectacle qu’offre une telle chienne, qui semble affamée de bites.

Elle alterne entre les queues pendant que ses deux gros seins sont sortis de la robe et que des pairs de mains s’emploient sur la belle pute, à lui caresser le clitoris, des doigts lui fouillent la chatte et s’enfoncent dans son cul ou lui malaxer les seins.

Les bites s’enchaînent dans sa bouche de suceuse de queues. Ses mains branlent celles qu’elle ne suce pas. Ils se masturbent sur elle en la gratifiant d’un.

– Salope, tu es vraiment qu’une pompe à jus, tu as dû en sucer des kilomètres de queues pour sucer comme ça

– Quel garage à bites ! Putain, elle t’avale la bite en entier

Plus les insultes sont salaces, plus, elle semble aimer et être excitée. Jean commence à sortir sa queue et à se branler, toujours assis en face elle. Il la voit changer de queues, bouffer la première qui se présente devant elle sans chercher qui en est l’heureux propriétaire. Jean la voit alterner entre les couilles et les glands. Elle remonte le long des hampes pour venir bouffer littéralement les bites et gober les couilles.

Elle parait jouir par la bouche cette putain.

– Allez sort ta langue pour venir me lécher les couilles. C’est bien, tu es une bonne chienne. Tu auras tout mon jus à gagner.

– Putain, je vais la recouvrir cette pouffiasse. Allez dis le que tu es une salope, dis le que tu aimes les queues ? Salope on ne t’entend pas.

– Oh ! Que oui! Abusez de moi, je ne suis votre salope, une vide couilles, une éponge à foutre. Videz-vous dans ma gorge où dans chacun de mes puits d’amour. Répond Alice comme si elle jouissait.

Jean ne l’a jamais vu comme ça, il en est estomaqué. Il savait que c’était une salope, mais là, à ce point, se lâcher comme ça, il en est ravi et excité. Il n’a jamais bandé aussi dur et il sent ses couilles prêtes à exploser.

On la retourne, elle se met à genoux sur le canapé, elle remonte le bas de sa tunceli escort robe jusqu’aux hanches et présente sa croupe bien en évidence pour ce la faire défoncer. Elle continue à sucer une queue, ses mains malaxent les couilles pendant que ses deux gros seins se balancent au rythme des coups de queue que lui impose le type.

Il lui baise littéralement la bouche. Il lui maintient la tête avec sa main, elle fait des petits bruits et semble adorer être un objet sexuel, être une pute offerte. Il ne met pas longtemps à jouir, trop excité, car cette suceuse de bite fait bien son travail. Le mec lui décharge dans la bouche en lui tenant la chevelure.

– Tiens, prends ça ! Avale, espèce de banque à sperme. Crie-t-il en jouissant.

Un des mecs se positionne derrière elle, tapote son sexe contre la chatte suintante d’Alice redevenue une traînée et y enfourne sa bite d’un coup sec jusqu’aux couilles. Alice est surprise, mais elle ne peut dissimuler qu’elle adore ça et que c’est ce qu’elle attendait. De la cyprine coule de l’orifice d’où rentre et sort la grosse queue.

Maintenant, elle se fait prendre par les deux bouts. Une bite lui baise la bouche, l’autre la chatte et chacune de ses mains branle une bite, dont celle du black qui est vraiment impressionnante. Ça lui fait une toute petite main en comparaison de l’autre. On enlève sa robe pour la mettre complément nue, ses gros seins jaillissent.

Un troisième se branle sur elle. Il approche sa queue du visage de la femme. Sa bite gonfle et devient veineuse. Jean voit sa femme sourire, elle ouvre grand la bouche et tend sa langue pour recueillir tout le foutre. Elle entoure le gland de ses lèvres et elle aspire tout ce qui en sort. Jean la voit déglutir un bon moment.

Quand il a demandé aux mecs de ne pas se branler, il ne s’attendait pas à ça. Le mec lui inonde la gorge de son sperme. Lorsque celui qui la baise, donne un coup de bite trop fort, il projette Alice sur celui qu’elle suce. La bite rentre dans sa gorge en finissant de se dégorger dans ses amygdales.

L’éjaculation à durer une bonne minute et elle a la bouche bien remplit. Il sort son téléphone portable et lui demande d’ouvrir la bouche avec encore de son sperme à l’intérieur. Jean aurait pensé qu’elle soit honteuse ou scandalisée par se faire filmer dans un tel état de dégradation, pourtant elle ne se fait pas prier et semble même apprécier. Elle continue à pomper les queues.

Le mec qui lui pilonne la chatte en lui assène des gifles sur le cul, elle en a un orgasme.

– Alors, la mère de famille ? On aime ça se faire défoncer, sale morue. Tu la sens ma grosse queue dans ton garage à bite?

– Oh ! Oui, venez me baiser avec vos grosses bites, je veux être remplie par tous les orifices et qu’on se vide sur moi. Je mouille comme une vraie salope.

– T’inquiète salope, on va te tringler en temps et en heure. Maintenant bouffe-moi le cul sale chienne, lèche-moi le trou du cul. Dit un troisième gars en présentant ses fesses sous le nez d’Alice.

Elle hésite quelques secondes, elle regarde Jean et elle obéit, comme la bonne salope soumise qu’elle est. Elle déploie sa langue et vient lécher le trou du cul du mec, pendant que sa main lui branle la queue par-devant. Elle lui lèche l’œillet et rentre sa langue à l’intérieur. Un des mecs la prend par le cou et l’oblige à fourrer tout son visage à l’intérieur pour lui lécher le cul. Jean, en spectateur passif, bande comme un taureau.

Il vient vers elle, la prend par les cheveux, la tire, elle râle un peu et pousse quelques cris, ainsi lui faisant face. D’une main, il lui prend le menton qu’il baisse pour lui faire ouvrir la bouche, il lui crache dans la gorge. Elle avale le crachat et il la remet dans cet endroit qui a l’air de lui plaire tant, après lui avoir dit.

– Tu es à moi désormais !

Le mec pousse un râle de contentement. Il se retourne d’un coup, lui prend la tête avec les deux mains et fourre sa queue au plus profond de sa bouche pour déverser tout son foutre à l’intérieur de sa gorge. Il semble y avoir beaucoup, tant et si bien qu’elle se force à presque tout avaler.

De la semence ressort des coins des lèvres d’Alice et vient perler sur ses seins et couler le long de son menton.

– Allez, on avale tout sale pute et on dit merci!

– Oh merci ! Dit-elle dès qu’il retire la bite de sa bouche.

– Et maintenant ? Tu me nettoies la queue salope. Reprend le type.

Alice s’y emploie si bien et avant qu’elle ait pu terminer, le gars s’essuie dans ses cheveux.

Un autre vient placer sa bite devant sa bouche et elle l’aspire comme une bonne pute, elle tire sa langue et gobe ses couilles pleines de jus, comme une bonne salope affamée, ce sperme épais et chaud va lui remplir l’estomac.

Les bites se succèdent dans sa chatte, elle prise dans tous les sens. Jean s’approche de temps en temps pour lui faire bouffer sa queue, après, il s’éloigne un peu pour regarder la scène. Il sort son appareil photo et filme la scène. Elle ne proteste pas. Le uşak escort black sort aussi son téléphone et la mitraille de photos et de vidéos. Il les envoie à ses potes qui ne semblent pas déçus.

Puis le black se place à l’entrée de l’anus d’Alice, après avoir inséré quelques doigts à l’intérieur de l’orifice, il lui plante son énorme bite. Ça a un peu de mal à rentrer. Sa bite est très épaisse et longue, toute veineuse. Quand il l’a foutu dans la bouche de sa femme, Jean se souvient de ses joues déformées par la taille de l’engin.

Elle semble suffoquer et manque de s’étouffer, elle semble adorer. Un autre gars vient se placer en dessous et lui enfourne sa bite dans son puits d’amour.

Les trois autres retrouvent la forme et se présentent devant sa bouche. Les commentaires vont bon train

– Bourre-la, cette pute, éclate lui le cul de cette pouffiasse ?

– Défonce-lui le cul à cette bonasse ?

Alice gueule, crie de plaisir et d’extase comme une chienne quand sa bouche n’est pas investie par une queue ou une autre. On lui malaxe les seins, on abuse d’elle et elle aime ça. Elle est là, avec ses trois trous remplit. Elle est empalée sur le mec du dessous qui s’emploie à lui filer des coups de butoirs dans sa grotte, la bouche baisée par une bite qui lui touche les amygdales et fait s’étirer la peau de son cou. L’énorme bite du black sort et rentre dans son cul comme un piston.

Dans chaque main, elle branle une queue, et Jean immortalise le spectacle par une vidéo. Il n’a jamais autant bandé. Elle pompe dans tous les sens, insatiable, avidement. Un mec lui agrippe les cheveux pour lui faire bouffer sa queue à son rythme.

– Alors ma chérie, ça te fait quoi d’être redevenue une pute? Que son mari lui demande.

Elle détourne le regard pour le regarder et il la voit, reprendre son souffle, adorer se faire soumettre dans ces conditions. Elle jouit à chaque fois qu’une paire de couille vient frapper son trou du cul ou ses lèvres.

Elle pleure de plaisir, elle hurle avant d’être prise de spasmes quand le black décharge de son boyau.

– Je vais jouir dans ton cul, salope!

Des filets de sperme coulent tout le long de son trou, elle est remplie de foutre, elle adore ça. Elle pousse un grand râle, son corps se raidit, frappé par un orgasme foudroyant. Le black se retire et laisse le trou du cul dilaté qui suinte de sperme, il est béant.

– T’es vraiment une pouffiasse à défoncer.

Lui dit le black en finissant de s’égoutter sur le dos de la belle pute. – Putain, je vais t’emmener dans une cave de ma cité pour te faire sauter par tout le bloc, tu vas aimer ça ?

L’idée excite Jean et il songe déjà à l’offrir à une vingtaine de racailles qui abuseront d’elle et la baiseront comme il se doit.

A peine, la bite du black sorti, un autre s’engage déjà dans la même voie. Alice pousse un petit râle de plaisir, la scène est beaucoup moins impressionnante tant l’engin est de taille inférieure. Ils l’enculent comme ça une bonne demi-heure, elle en râle de plaisir. Ils la retournent dans tous les sens, la baisent par tous les orifices.

Ils ne lui laissent aucun répit. Les mecs se succèdent et lui liment la chatte, la bourre sauvagement dans tous les sens. Elle est essoufflée et halète. Un mec sort de son cul pour lui enfoncer sa bite dans la bouche. Elle ne proteste pas et elle lui avale la queue souillée comme une salope. Elle le pompe et le branle avec vigueur, en lui malaxant les couilles.

Un autre vient placer sa bite devant sa bouche. Les deux bites font du va-et-vient simultanément dans la bouche de la femme, qui ressemble désormais à tout sauf à une bouche, déformée par la grosseur des deux queues. Sa mâchoire est distendue.

Ensuite, après la bouche, c’est le tour de son cul, le premier mec n’a pas trop de mal à insérer sa queue dans le trou encore largement ouvert d’Alice. L’autre mec, qui a une queue fine, mais très longue, se place à côté du premier et la pénètre aussi. Elle jouit encore.

– Alors sale pute, ça fait quoi de se faire fourrer par deux grosses queues, salope? Demande l’enculeur.

Elle ne peut répondre, un des autres mecs est en train de lui forcer la bouche.

Du coup, le mec qui lui ramone le cul entreprend de redoubler la cadence et de venir frapper ses couilles le plus fort possible dans l’orifice. Le second type qui l’encule l’accompagne. Elle est là, à quatre pattes se faisant défoncer le cul par deux bites. Elle recommence à crier de plaisir et se libère de la queue dans sa bouche.

Du coup le type de derrière la reprend de plus belle.

– Alors pompe à foutre, je t’ai posé une question. Tu aimes ça te faire péter le cul par deux queues et ça te fait quoi? Je parie que c’est la première fois pour toi.

– AAARRRF ! C’est trop bon.

Répond Alice complètement dépassée par les événements. Sa voix est faible ? Mais sincère. Elle est en extase. – Je veux votre foutre dans mon ventre, vous videz les couilles. Je suis une outre à sperme.

Ces mots dans la bouche de sa femme sonnent comme du miel à l’oreille de son mari. Enfin cette salope est de nouveau satisfaite. Non seulement elle est traitée à sa juste valeur et elle le reconnaît et elle y prend du plaisir. Quand les deux qui sont dans son cul jouissent ensemble, elle en est terrassée par un orgasme phénoménal.

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